Questions Générales (FAQ)

1- Je ne trouve pas un nom de famille
 
2- J’aimerais poursuivre les recherches

3- Je trouve une erreur sur le site

4- J’aimerais acheter le livre « Non Nou » ou « Non An nou »

5- Quelle est l’origine de mon nom ?

6- J’aimerais participer à l’atelier de généalogie

7-Pourquoi des actes notariés et pas des registres des libres ?

 

Réponses aux questions posées ci-dessus

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1-Je ne trouve pas un nom de famille:

• Il peut s’agir d’une erreur de déchiffrage de notre part et/ou de la mauvaise qualité des archives consultées.
• Il a été attribué à un esclave affranchi avant 1848.
• Il a été attribué dans une ville dont les archives sont incomplètes, ont été détruites ou ne sont pas encore en notre possession. Pour la Guadeloupe c’est le cas pour les communes suivantes : Deshaies, Baie-Mahault, Baillif, Basse-Terre, Pointe-Noire, Trois-Rivières, Vieux-Fort, Vieux-Habitants, en partie reconstitués avec les actes notariés (voir réponse 7).
• Il provient de personnes arrivées après l’abolition de l’esclavage (Congolais, Indiens, Chinois, Syro-libanais, Européens…).
Les données auxquelles vous avez accès sur ce site ont été colligées pendant plus de 4 ans par le Comité Marche du 23 Mai 1998 (CM98) à partir des « registres des nouveaux libres » (pour la Guadeloupe) et des « registres d’individualités » (pour la Martinique). Elles concernent la majorité des Guadeloupéens et des Martiniquais, esclaves, qui ont été affranchis puis nommés à partir de 1848 par des officiers d’état civil français. Certaines données ont été obtenues à la fois à partir d’actes notariés (voir réponse 7) et d’actes d’état civil .
Voir pour plus de détails, sur ce site dans la partie présentation : (http://www.anchoukaj.org/affiliation.php)
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2- J’aimerai poursuivre les recherches:

Si vous voulez entamer un véritable travail de recherche généalogique sur votre famille esclave; nous tenons une permanence tous les mardis au Siège du CM98 : 3, villa Dury-Vasselon 75020 Paris de 17H à 19H, Métro : Porte des Lilas Téléphone : 01 43 64 67 75
Nous avons différentes commissions dont une chargée d’encadrer et d’accompagner les membres de l’association dans leurs recherches généalogiques. De plus, tous les mois, nous tenons une réunion.  Voir agenda des réunions
Guide de recherche généalogique : http://www.cm98.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=62&Itemid=67

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3- Je trouve une erreur sur le site:

Les données auxquelles vous avez accès sur ce site ont été colligées pendant plus de 4 ans par le Comité Marche du 23 Mai 1998 (CM98) à partir des registres des nouveaux libres (pour la Guadeloupe) et des registres d’individualités (pour la Martinique)
Signalez nous, le nom et la commune concernés

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 4-J’aimerais acheter le livre « Non Nou » ou « Non An nou » :

Voir notre site CM98 ci-dessous :

http://www.cm98.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=193&Itemid=64&5a8ba2524b66f432c7b8159053b

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5- Quelle est l’origine de mon nom :

Voir notre site CM98 ci-dessous :

http://www.cm98.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=66&Itemid=70

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6-J’aimerais rejoindre l’atelier de généalogie:

Voir notre site CM98 ci-dessous :

http://www.cm98.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=72&Itemid=30

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7-Pourquoi des actes notariés ou des registres des libres ?

L’acte notarié est un document juridique rédigé par un notaire (officier ministériel) à la demande de clients. Ceux que nous avons utilisés établissent avec précisions la valeur des biens des colons à l’occasion d’achats, de ventes, de mariage, de décès, de donations… Les esclaves, ayant une valeur marchande, sont recensés avec précisions dans ces actes avec leur prix et certaines caractéristiques, infirmité, couleur, métier…, qui justifient ce prix. 
En étudiant d’une part tous les actes notariés concernant les habitations de la Guadeloupe et de la Martinique établis entre 1830 et 1849, et en comparant ces données avec les actes d’états civils de 1849 à 1870, nous reconstituons, en partie, les registres des nouveaux libres et des individualités qui n’étaient pas disponibles ou ne n’étaient pas complets (destruction, perte…). C’est le cas des communes de Gourbeyre, Vieux-habitants, Deshaies, Baie-Mahault, Basse-Terre, Baillif, Vieux-Fort, Trois Rivières pour la Guadeloupe et Saint-Pierre pour la Martinique).
Ce travail est en cours de finalisation. 

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La nomination des Martiniquais après l'abolition de l'esclavage.

Le décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848 mit définitivement fin à l'application du Code noir et au statut d'esclave pour environ 67447 Martiniquais, soit environ 60% de la population de l'île. Il fallut alors attrubuer à toutes ces personnes des noms de famille, car esclaves, elles n'avaient pour seul attribut identitaire qu'un prénim, parfois un surnom ou un sobrique et à partir de 1839, un numéro ou matricule

La nomination des Guadeloupéens après l'abolition de l'esclavage.

Nous avons retrouvé près de 30 000 patronymes qui ont été donnés à plus de 80 000 Guadeloupéens à partir de 1848. Ils étaient tous esclaves et venaient d'être affranchis par le décret d'abolition de l'esclavage proclamé le 27 avril 1848 par le gouvernement provisoire de la 2e République française.